Grandefigure du 19eme siècle, Victor Hugo affirma : « Ouvrez des écoles et vous fermerez des prisons ». Tirée de l'une de ses plus grandes œuvres, « Les Misérables », son propos était
Ouvrez des écoles et vous fermerez des prisons», écrivait Victor Hugo au XIX e siècle. De nos jours, où l'on a coutume de se plaindre de la «montée de la délinquance», pensez-vous qu'il suffise de développer l'instruction et le savoir pour lutter contre la délinquance dans ses formes les plus diverses?
Ouvrezdes écoles, vous fermerez des prisons. » de Victor Hugo. 569 likes. Je vous invite sur le chemin de liberté Jump to. Sections of this page. Accessibility Help. Press alt + / to open this menu. Facebook. Email or phone: Password: Forgot account? Home. About. Photos . Posts. Community. See more of Ouvrez des écoles, vous fermerez des prisons. » de Victor Hugo
Ouvrezdes écoles, vous fermerez des prisons Le 23 mai 2010. Cher Mr Howard, Mon avis sur ce que vous prétendez être mal est pour moi peu développé et semble assez mal
Véritablesprouesses d'architecture, les plus beaux châteaux de France attirent chaque année des millions de touristes férus d'histoire. Ici, le château de Chenonceau en Touraine. Mistervlad
Ouvrez des écoles, vous fermerez des prisons !" C'est sur cette citation de Victor Hugo que s'est conclu le débat, qui rassemblait le vendredi 13 février 2009, parents d'élèves, enseignants et responsables municipaux, à l'école Beauregard de La Rochelle. Dans le cadre de "la nuit des écoles", la trentaine de participants souhaitait marquer son attachement à une école publique
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Le premier confinement au printemps 2020 a laissé de mauvais souvenirs à des millions de familles. Les parents d'élèves avaient dû concilier leur travail à distance et devenir enseignant de leurs enfants en y passant du temps chaque jour leur apprendre à lire, leur expliquer de nouvelles notions et parfois être totalement dépassé par les programmes. Ce scénario, de nombreux parents d'élèves le redoutent, en attendant les prochaines annonces d'Emmanuel Macron pour freiner la circulation du Covid-19. "C'est une grosse crainte des parents parce qu'il faudra s'occuper des enfants. Si c'est fermer les écoles pour éviter les contaminations mais que les enfants vont au centre de loisirs, c'est un coup d'épée dans l'eau. Ça doit s'organiser", explique le coprésident de la FCPE fédération des conseils de parents d'élèves Rodrigo Arenas. "Comment les employeurs vont s'adapter ?" Les employeurs seront-ils toujours conciliants avec leurs salariés ? "Comment les employeurs vont s'adapter aux parents qui télétravaillent ? Ils ne sont pas enseignants et ils ne pourront pas travailler avec les enfants dans les pattes, c'est la leçon du premier confinement. Comment vont faire les parents qui n'ont pas de moyen de garde ?", questionne Rodrigo Arenas, coprésident de la FCPE. Les questions sont très nombreuses, les réponses encore absentes. Ces craintes sont partagées par Hubert Salaün, le porte-parole de la PEEP fédération des parents d'élèves de l'enseignement public. "On a des parents qui pensent que leurs enfants sont plus protégés à la maison et on a des parents, plus majoritaires, qui pensent qu'une fermeture d'école va commencer à poser de gros problèmes au niveau pédagogique et au niveau bien-être des élèves. Il y a une forte inquiétude. Si le confinement est la seule solution, on l'acceptera". À défaut de confinement, la possibilité d'ajouter une troisième, voire une quatrième semaine de vacances de février est régulièrement évoquée ces derniers jours. La FCPE y est favorable, la PEEP y est opposée à moins qu'une continuité pédagogique soit mise en place pour ne pas couper le lien avec l'école. Une affiche prévient les parents de la fermeture de l'école à l'occasion du premier confinement, en mars 2020. Photo DDM archives, Sébastien Lapeyrère Jean-Michel Blanquer "L'école est fondamentale" Jean-Michel Blanquer le répète depuis plusieurs jours il veut maintenir les établissements scolaires ouverts. "L'école est fondamentale, c'est bon pour nos enfants ... ce n'est pas quelque chose de marginal, ce n'est pas une variable d'ajustement. Garder les écoles ouvertes, c'est ma conviction profonde", a indiqué le ministre de l'Education Nationale sur LCI. Si la France doit se reconfiner, le confinement sera-t-il strict avec les écoles fermées comme en mars 2020 ou plus allégé avec les écoles ouvertes comme en novembre dernier ? À l’issue du Conseil de défense organisé ce mercredi matin, le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a annoncé qu'un "confinement très serré" faisait partie des scénarios envisagés. Qui pourrait sous-entendre une fermeture des écoles. Plusieurs pays européens ont fait ce choix courant janvier comme le Royaume-Uni, l'Allemagne, l'Autriche, les Pays-Bas ou le Danemark. En Espagne, en Italie ou en Grèce, les retours des vacances de Noël avaient été retardés. Fermer les écoles serait inacceptable pour la Société française de pédiatrie. Elle a pris position contre la fermeture des écoles, dans une lettre adressée mardi à l'Elysée. "La balance bénéfice-risque apparaît à ce jour très en faveur du maintien de l'ouverture des écoles et des collectivités pour les enfants dont la santé mentale et sociale ne doit pas être sacrifiée", expliquent les pédiatres. Pour Rodrigo Arenas, le coprésident de la FCPE, "les parents et les enseignants ont besoin de savoir vite. Nous demandons l'organisation d'un Conseil de défense de l'Education Nationale". Le bureau d'un élève dans une classe d'Eauze dans le Gers. Photo DDM archives, Sébastien Lapeyrère Le virus se propage-t-il vite dans les écoles ? L'école est-elle vraiment exposée au Covid-19 ? Non, selon une étude des Centres américains de prévention et de lutte contre les maladies, qui ont analysé les données des écoles de trois Etats américains et de plusieurs pays européens. "Il existe peu de preuves que les écoles ont contribué de manière significative à une augmentation des transmissions", explique l'étude parue dans le Journal of the American medical association. "La majorité des preuves existantes, portant sur le premier semestre scolaire, ont été rassurantes dans la mesure où le type de propagation rapide qui avait été fréquemment observé dans les lieux de cohabitation, ou les lieux de travail à forte fréquentation, n'est pas observé dans les milieux scolaires", expliquent les chercheurs. En France, 96 établissements scolaires sur 61 500 sont fermés soit 0,16 % 64 vendredi dernier, et 444 classes sur 528 400 0,08 % selon les derniers du ministère de l'Education Nationale publiés ce vendredi. L'académie de Toulouse est la plus impactée de France avec 19 établissements fermés + 50 % en huit jours. Une cour d'école à Eauze dans le Gers. Photo DDM archives, Sébastien Lapeyrère Moins de bienveillance des enseignants ? La forte circulation du virus impacte déjà de nombreux élèves pendant cette année scolaire. "Le collège Valmy à Paris a 850 heures de cours qui n'ont pas été assurés depuis septembre. 850 heures ! Au collège Feyder d'Epinay-sur-Seine, des gamins n'ont pas eu cours de maths pendant trois mois. Les profs sont touchés par le Covid-19 comme tout le monde et ils ne sont pas remplacés", raconte Rodrigo Arenas, le coprésident de la FCPE. Les deux premiers confinements avaient eu un impact sur les programmes scolaires. Alors que les lycéens alternent entre présence au lycée et travail à la maison, un nouveau confinement total aurait des conséquences encore plus graves, redoute la PEEP. "On l'a vu lors des conseils de classe, la bienveillance d'une partie des enseignants n'est plus vraiment là, explique le porte-parole Hubert Salaün. Des élèves n'ont pas d'imprimante, ne peuvent pas imprimer les PDF, il n'y a plus cette indulgence qu'il y avait au printemps et toutes les notes comptent. On avance un peu à marche forcée". Confiner toute la France pour notre santé à tous ou laisser les écoles ouvertes pour maintenir une continuité pédagogique une lourde équation à résoudre pour le professeur Macron.
Bonjour, que pensez vous de cette idée de Victor Hugo "Ouvrez des écoles et vous fermerez des prisons" ? L'Ecole aide-t-elle à lutter contre la criminalité, la délinquance, les transgressions de la loi, le manque de respect de l'autre ? Quand on voit ce dont beaucoup d'hommes d'affaires, d'avocats et de politiques hautement diplômés sont capables, on doute... L'Ecole nous instruit, nous donne des diplômes, des clefs supplémentaires mais au final, un individu sans morale ni éthique aura simplement plus de puissance pour faire le mal truander le fisc, licencier pour augmenter encore les bénéfices d'une entreprise, mentir à ses électeurs, détourner de l'argent public, voire pour certains - ne soyons pas naïfs - faire intimider des opposants, commanditer des passages à tabac, voire des meurtres. Pensez-vous vraiment que l'Ecole améliore l'humain ? de vos partages.
Vous n'êtes pas sans savoir que Madame Dati a proposé la semaine dernière le 4 décembre je crois que la prison serait ouverte aux enfants de 12 pensez-vous de cette proposition? En fait il ne s'agit que de l'abaissement de l'âge de la responsabilité pénale qui passerait de 13 à 12 ans. Passer l'age à 12 ans n'est pas choquant en soit, la différence entre 12 et 13 ans étant assez minime... pour comparer, en Europe l'âge moyen de la responsabilité pénale est de 14 ans et en Grande Bretagne c'est 10 ansedit ce que je ne comprends pas trop c'est le fait de mettre en prison ces jeunes, qu'ils aient 12 ou 13 ans... Le terme employé est bien prison, mais s'agit-il peut-être de mesures éducatives dans des centres clos là encore faut voir son utilité...Ce qui me pose problème c'est où va t-elle trouver de la place pour ces demi-portions? Déjà que les prisons sont engorgées... Alors, vos opinions?Vous en avez surement parlé en cours de pénal ou de libertés fondamentales... serait intéressant de faire partager les avis qui ont du en ressortir!Je dois manquer de "bon sens", ça me choque autant que la détection d'éventuels enfants violents dès la maternelle. J'avoue que je ne comprends pas comment on peut prétendre vouloir réduire la délinquance en envoyant un enfant de 12 ans en prison, endroit totalement inadapté. A mon avis il en ressortira encore plus violent, d'autant plus qu'on sait très bien qu'avec le peu de moyens actuels la prison ne sera pas accompagné d'un travail éducatif. Il faudrait plutôt se poser la question de savoir pourquoi il y a des enfants délictueux de plus en plus jeunes. Encore une fois on ne cherche pas à agir à la base!Pour terminer "Ouvrez des écoles vous fermerez des prisons"Victor HugoCa va permettre de soulager un peu la DDASS. Et puis cmme tu l'as dit, ce sont des demi portions, donc plus facile à solution, ça consiste à mettre les enfants dans les bâtiments qui servaient autrefois d'écoles maternelles. Comme ils vont les supprimer, ca va faire de la place. Et puis, le personnel pénitentiaire, ça fait moins souvent grève que ces c*nn*rds d'instit, surtout dans les municipalités socialistes !Bah "Ouvrer des écoles et..euh..ouvrer des prisons."Vu le système scolaire actuel, ça m'étonne pas que les jeunes sniffent de la colle. De toute manière faut les brûler comme au Brésil. Puis ça c'est encore la faute au travail féminin. Si les femmes ne travaillaient pas, elles pourraient s'occuper convenablement des gosses sinon, plus sérieusement, quoique, je pense évidemment pas que ça soit une bonne idée de rabaisser encore l'âge de responsabilité pénale. Je vois pas ce qu'un gosse de 12 ans, même avec des aménagements, peut aller foutre en taule. Mais d'ailleurs je vois pas ce qu'un gosse de 13 ans peut aussi y faire. A priori, 16 ans me parait évidemment dans une société qui fabrique des multirécidivistes totalement déscolarisés, déresponsabilités et sociopathes et inadaptés dès 8 ans. A mon avis, ceci est le constat posé par l'Etat de l'échec total de l'éducation de notre société, éducation des parents, éducation des enfants.[quote="Deepack"29g2kgag] En fait il ne s'agit que de l'abaissement de l'âge de la responsabilité pénale qui passerait de 13 à 12 ans Bon, je vais être encore le vieux pinailleur de service mais, non, en l'état de l'ordonnance de 1945, il n'y a pas en France d'âge légal de mise en cause de la responsabilité mineur, quel que soit son âge, est pénalement responsable la dite ordonnance et ses nombreuses modifications sont "juste"venues préciser les âges à partir desquels telle ou telle sanction - principalement l'emprisonnement - est juridiquement je suis d'accord, à la fois, avec Elocello, qui se demande pourquoi de plus en plus d'enfants jeunes deviennent violents et délinquants et avec Guy Debord qui voit, dans ce rapport, la reconnaissance de la faillite du système éducatif des parents...et donc de leurs doute, faut-il sortir de l'opposition dogmatique "tout éducatif"contre "tout répressif", la sanction ayant une aussi vertu pédagogique....ou, tout le moins, devrait en avoir une !De là à emprisonner des enfants de 12 ans, même pour des faits criminels, non !Déjà que je me demande si l'incarcération d'un mineur de plus de 13 ans reconnu coupable de crime est utile...alors 12 ans !Ceci étant, l'Etat se doit de réagir - mais pas à n'importe quel prix - à cette montée de la déliquance des très jeunes.
l'essentiel Le ministre de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer annoncé ce jeudi 28 mai que les collèges et lycées des zones vertes rouvriront à partir du mardi 2 juin. Sur la sellette depuis deux mois, l’oral du bac de français pour les élèves de première a été annulé. À l'occasion de la présentation de la deuxième phase du plan de déconfinement, le ministre de l'Education nationale a détaillé les mesures applicables dès mardi 2 juin pour les écoles, collèges et lycées, après une amorce depuis le 11 mai et dans l'optique de la rentrée de septembre. Objectif affiché réouverture de 100 % des écoles dès mardi, "une urgence sociale et un impératif éducatif", dans le respect du protocole sanitaire strict. A lire aussi Déplacements, restaurants, école ce qu'il faut retenir des annonces d'Edouard Philippe sur le déconfinement Un accueil complémentaire dans les écoles primaires et élémentaires Plus de 80 % des écoles primaires ont rouvert au 11 mai dans plus de 90% des communes sur le territoire, "avec une légère différence entre les départements en zone rouge et ceux en zone verte". Dès mardi, toutes les écoles seront ouvertes. "Toutes les familles qui le souhaitent doivent pouvoir scolariser leurs enfants, au moins une partie de la semaine", a expliqué Jean-Michel Blanquer, rappelant que les groupes d'une quinzaine d'élèves maximum étaient maintenus. Un accueil complémentaire sera proposé, avec le programme Sport-santé-culture-civisme en lien avec les communes, "qui doit permettre [aux élèves] d'avoir des activités sportives et culturelles", a-t-il détaillé. De la souplesse dans les collèges Dans les collèges, 95,5% des collèges sont ouverts depuis une semaine en zone verte, avec l'accueil des élèves de 6e et de 5e. L'ensemble des établissements rouvriront dès mardi dans ces zones pour toutes les classes, de la 6e à la 3e . En Ile-de-France, à Mayotte et en Guyane, seules les classes de 6e et de 5e sont concernées par la reprise. "Si les conditions matérielles sont réunies, les autres niveaux seront accueillis", a précisé le ministre. Là aussi, un système d'alternance entre présence en classe et sous forme d'accueil complémentaire est proposé. Priorité aux lycées professionnels, oral de français annulé Dans les lycées, priorité aux établissements professionnels, "où il y a le plus de décrochages". En zone verte, tous les lycées rouvriront dès le 2 juin, avec un accueil des élèves sur au moins un des trois niveaux seconde, première ou terminale. En zone orange, les lycées professionnels rouvriront en priorité, pour assurer la certification professionnelle des élèves de terminale et en CAP. Les lycéens des filières technologiques et générales pourront être accueillis pour des entretiens individuels et pour leurs projets d'orientation. En ce qui concerne les épreuves orales du bac français, et après consultations, Jean-Michel Blanquer a annoncé l'annulation de l'épreuve, "face à l'inégale préparation des élèves", a-t-il justifié. L'épreuve sera donc validée par le contrôle continu, les notes des deux premiers trimestres seront prises en compte.
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